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different, together without indifference

1 novembre 2009

Oui à la fin du Bovarysme!

mme_BovaryJe dis oui, oui, oui à la fin du Bovarysme! Qui, mais alors qui (je parle aux filles littéraires) n'a pas été influencé par la lecture de Madame Bovary? Nombre d'exemple en littérature où la femme se tue parce qu'elle a soi-disant connu la passion amoureuse, la vraie. Non, mais c'est vrai qu'il y a de quoi crier aux scandale! Vous me direz la littérature est un excercice de style, ce n'est pas la vraie vie. Oui, mais on devrait être avertit. Ben oui, on est toutes un peu naives voire niaises aux débuts nous les filles en amour. Et même si on a lu le deuxième sexe de Simone de Beauvoir, l'expérience vaut 200 fois la théorie. Alors oui, le chemin est long et éprouvant vers l'autonomie et l'indépendance pleine de l'esprit féminin, mais j'y arriverais. N'empêche c'est douloureux, très très douloureux la perte des illusions...

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31 octobre 2009

Pas possible la vie sans livres et sans chats!

plakat_gBon, là je dois dire que livres et chats, ça en rajoute dans le genre grand-mère pantouflée (faut-il avouer que je n'ai que 21 ans...). Bon, lors d'une petite escapade entre potes de fac à Vienne qui m'a permit de visiter en autre la maison de Freud, je passe près d'une librairie et là en grand cette affiche. J'ai eu le coup de coeur!( là aussi faut-il dire que j'ai trois chats tout aussi névrosés et caractériels les uns que les autres et qui sentent des dessous de bras quand ils sont énervés, si,si!). Enfin, la vie sans livres et sans chats, ce serait un peu triste, n'est ch'pas?

31 octobre 2009

Je kiffe la laine!

L'automne est là avec ses jolies feuilles qui tombent et déjà le froid qui se fait un peu sentir.pelotte_de_laine

C'est donc le moment de tricoter ses écharpes pour l'hiver qui arrive. Telle une grand-mère pantouflée, je cours à la mercerie la plus proche acheter de quoi tenir cet hiver. En plus, y a de la promo! Là, c'est inéspérée! (La fille qu'a pas encore compris toutes les stratégies commerciales du marché). Bref, je repars fièrement avec des aiguilles à tricot, des pelottes à 50% laine, faut pas charier c'est déjà pas mal! A moi les soirées télé à tricoter!

Y a pas à dire "Je kiffe la laine!"

30 octobre 2009

Le goût des autres

Eh bien, dites-moi je suis terriblement prolixe aujourd'hui! Voilà, a t-on le goût des autres où l'acquière t-on progressivement en passant par des passages bien difficiles. On se laisse souvent influencer par les autres. Pourquoi inconsciemment prend t-on les autres en modèle? Anita aime cela, Falbala fait cela et voilà notre boussole déboussolée. Hors, on devrait s'en foutre c'est leur vie pas la mienne! Oui mais voilà, on observe chez les autres puisque l'on ne sait pas toujours où aller et puis on pense toujours que l'herbe est plus verte ailleurs que chez soi. Alors, on se crée des relations, on les écoute, ils ne nous écoutent pas toujours, ils nous manipulent, nous les manipulons. On se rend compte que c'est un jeu d'adresse permanent où il ne faut pas trop perdre l'équilibre. Quoiqu'il en soit au bout du compte, on est seul mais entouré! Le tout est d'être dans l'interaction sans s'oublier. C'est de la jonglerie, je vous dis...

30 octobre 2009

Cultures et sexes opposées!

Je n'ai jamais visité ce pays et peut-être que je n'y metterais jamais les pieds, enfin peu importe! La joie des échanges universitaires permettent des rencontres incongrues quelquefois comme celle d'une française et d'un brésilien. Je dois dire que c'était une expérience intéréssante mais je suis septique sur cette idée d'un village monde où tout le monde est frère et où tout le monde s'aime. Y a des rencontres qu'on ferait mieux de ne pas faire quand on est un vrai coeur d'artichaut(mais en pleine réforme) comme moi! Bon ya des bons côtés maintenant je connais bien la géographie du Brésil, je m'intéresse à leur politique, je balbutie quelques mots "Oi!", "Tudo bêm?"...J'ai perfectionné mes connaissances en bossa brésilienne (Chico Buarque, Vinicius de Moraes, Elis Regina, Maria Rita...), je connais mieux Fernando Pessoa et Levi-Strauss mais je reste quand même sur la touche. Dur de se comprendre quand on est si loin, quand les cultures sont si différentes, très dur! Et puis quand se rajoute à cela, les complications de toute rencontre entre les sexes opposés! Bon, y a pas à dire j'ai été gagné par la "saudade do brasil", car il n'y a pas à dire la culture de ce pays est envoutante. Mais il faut aussi dire que des graves problèmes persistent: les paysans sans terres, la déforestations, les ogm, la violence et puis un certain machisme chez ces messieurs (comme sur le reste de la planète d'ailleurs). bresil_3

Mais je dois dire qu'ils ont une rage de vivre incontestable, ils sont super propres (ils se lavent plusieurs fois par jour le corps et les dents, traditions héritées des indiens d'Amazonie), et une façon de parler français carrément irrésistible! 

Bon, voilà la page se tourne jusqu'à la prochaine rencontre amoureuse ou culturelle...

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30 octobre 2009

"Je veux des frites bordels"!!!!!

dutronclive Coup de coeur pour cet excellent guitariste, mélodiste, parolier et chanteur! L'homme orchestre avec une sensibilité très féminine pour cet homme dandy et sexy! Bon, revenons aux chansons et délaissons quelque peu son interprète. C'est comme plein de pensées pêle-mêle très justement agencées, comme plein de petites fables contemporaines. On est obligé de se dire que ce mec arrive à transcrire ce que l'on ressent, bon là ça fait très critique d'adolescente: "Ce keum il ressent tout ce que je ressent, c'est ouf", mais c'est pourtant ça. Une mention spéciale pour la version live de l'album qui rende encore plus palpable l'humour de ce Thomas Dutronc. C'est cotonneux, on se laisse flotter légèrement par cette musique qui swingue.  En gardant en mémoire les spectres de Sydney Bechet ou Django Reinhardt qui veillent tout le long du concert.

29 octobre 2009

Plus de 80 ans et toujours la pêche, une

arriver_chez_soi_digipack_CD_zPlus de 80 ans et toujours la pêche, une indéfectible passion pour la poésie, un écolo honnête, du recul sur notre monde moderne, chapeau bas Monsieur Vigneault!

29 octobre 2009

Des jours avec, des jours sans...

Y a des jours où on a la banane, et des jours où on la cherche! Je pense qu'il en va de même certains jours pour ces messieurs... Quoiqu'il en soit, c'est d'états-d'âmes dont je cause. Pourquoi, on ne se sent pas certains jours de courir au secours de la veuve et de l'orphelin alors que la veille, on combattait la violence, dénonçait la pauvreté et parlions d'illétrisme? Pourquoi les grands combats alors que comme disait ce cher Gilles Vigneault lors d'un entretien sur son dernier concert à l'Olympia: "C'est intéréssant de passer à l'universel, mais raconter l'histoire de son  voisin, être profondément local, essayer de se connaître soi-même, n'est-ce pas risquer plus d'universalité que d'essayer d'être tout le monde en même temps?". A méditer...

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